Le risque de crédit
Il s’agit du risque de non remboursement d’une dette par un emprunteur (cela vaut aussi pour les titres de dettes telles que les obligations souveraines Grecques).
Le risque de contrepartie est une notion semblable.
Le risque opérationnel
Il s’agit d’un risque pouvant intervenir dans l’activité courante de la banque comme un problème informatique, une erreur de trading ou un litige. Pour cela les établissements bancaires mettent en place des procédures de vérification de chaque opération.
Le risque de change
C’est un risque qui intervient lors des investissements à l’étranger (emprunt en Dollar par exemple) et pour les produits financiers en devise étrangère.
Une hausse de la devise par rapport à sa monnaie est un coût pour l’établissement, il peut néanmoins couvrir se risque par des instruments financiers de couverture.
Le risque de taux
C’est le risque lié à une hausse des intérêts, selon la tendance des marchés ou la politique monétaire de la BCE, qui peut mettre une entreprise emprunteuse à taux variable en difficulté.
La variation des taux entraine aussi un risque pour les titres de dette même à taux fixe (telle qu’une une obligation). En effet une obligation réagit de façon opposée, sa valeur diminuent en cas de hausse des taux, et inversement.
Le risque de liquidité
Il s’agit du risque de ne pas trouver de contrepartie pour vendre ou acheter un produit financier. Plus le nombre d’acteur sur le marché est grand, plus les contreparties potentielles et donc la possibilité d’échanger rapidement son produit financier est grande.
==> Voir aussi : Notations et risques des banques Françaises
Le risque de volatilité
La volatilité représente la fluctuation des prix d’un produit financier, elle est source d’incertitude. Par sécurité, on préfèrera un titre liquide et non volatile, pour échanger facilement à un prix connu d’avance.